Communication

Objectif Paris 2024 pour Sandra Dodet !

Portrait Sandra Dodet

Apprendre, s’améliorer, se dépasser, échouer, recommencer. Nous ne parlons pas ici de votre parcours lors du développement d’un nouveau projet, mais bien du cheminement que connaissent les athlètes dans leur préparation pour les prochains Jeux Olympiques. Parmi ces sportifs méritants figure Sandra Dodet, triathlète française dont nous sommes partenaires depuis 2019.

Agée de 25 ans et membre de la Fédération française de triathlon, Sandra a un objectif : Paris 2024.

Mais avant d’y arriver, il faut que la Fédération française de triathlon la sélectionne pour l’une des rares places attribuées à la France, 2 ou 3 maximum chez les femmes. Quand on sait que les épreuves de classement pour les JO débutent deux ans avant (mai 2022) et que chaque compétition internationale a son propre système de points (coupe d’Europe, coupe du monde, circuit WTCS), la route est longue !

 

Un programme exigeant pour des résultats épatants 

Pour Sandra, la saison s’annonce chargée et elle est en forme. Après avoir triomphé en mai à l’étape de coupe du monde d’Arzachena (Italie), elle a fini 3ème le 24 juillet lors de la manche à Pontevedra (Espagne).

Basée à Boulder (Colorado) depuis début 2021 et entourée d’un nouveau coach, elle est bien décidée à se surpasser. « Je me sens bien et je progresse dans mes entrainements, même s’il y a encore beaucoup de choses à travailler. Il faut être patiente et je suis curieuse de voir ce que cela donnera en fin de saison. »

En parlant d’entrainement, le programme est plutôt chargé : « Je m’entraine dans les trois sports [natation, course, vélo] cinq fois par semaine. Les 2 autres jours, je me concentre sur 2 sports, afin de travailler des points techniques. »

Si le programme d’entrainement intensif est déjà impressionnant, vient s’ajouter à cela la pression de la Fédération, la concurrence entre les athlètes et l’opinion de la société, qui peut rapidement se dégrader à la suite d’une course difficile, en laissant de côté l’ensemble des exploits précédents.

 

Passion, défi et bienveillance : le trio gagnant

Sauf que, comme le rappelle Sandra, « derrière l’athlète, il y a l’humain. Malgré la pression, il ne faut pas en oublier le plaisir. On se compare beaucoup entre athlètes mais finalement, ce qui compte, c’est de se dépasser et d’être meilleur que le soi-même de la veille. Il y a toujours de nouvelles échéances et, après une course réussie, il faut se remettre dans le bain et ne pas rester sur son petit nuage. Ce qui est beau, c’est le challenge. »

Qu’il s’agisse d’une course ou d’un changement de carrière, Sandra est au moins certaine de ce qu’elle ne souhaite pas. « Je n’ai pas d’idée précise sur ce que je ferai après ma carrière d’athlète et ce point d’interrogation m’angoisse un peu. Le sport ne sera pas mon métier jusqu’à ma retraite. Je suis toujours attirée par l’ingénierie puisque j’ai commencé une formation d’ingénieur à l’EPF de Montpellier. En revanche la mécanique et l’informatique n’étaient pas mes matières de prédilection, donc ça ne sera certainement pas mon futur domaine de spécialité ! »

Ce témoignage vous inspire ? Vous pouvez retrouver l’actualité de Sandra sur son compte Instagram.

Et pour celles et ceux d’entre vous qui rêvent de nouveaux défis à défaut de participer aux JO, vous pouvez rejoindre une entreprise qui ne cesse de progresser depuis plus de 100 ans.

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