La surexploitation des ressources pose de nombreuses questions sur la durabilité de nos modes de fonctionnement et nous pousse à adopter des logiques d’économie circulaire. Déjà mise en œuvre dans le domaine de l’eau, cette approche s’étend de plus en plus à la construction, en incitant les acteurs à analyser le cycle de vie et l’empreinte carbone de leurs bâtiments et ouvrages.